40 kilomètres de patinage par joueur, et l’hostilité du public dans un match censément joué à domicile : c’est le prix à payer pour devenir champion biélorusse. Cela vaut toujours mieux que de voir son club disparaître en pouvant écrire comme testament « la KHL m’a tuer ».
Le drôle d’univers du hockey de Minsk – ville-hôte de la prochaine super-finale de Coupe Continentale pour laquelle Rouen essaiera de se qualifier – est présenté dans le classement commenté du championnat du Bélarus, ouvert également à deux clubs de Lettonie et à un représentant ukrainien égal à lui-même, c’est-à-dire sans argent pour payer ses joueurs.