Et c’est parti pour les play-offs ! Les Brûleurs de Loups, premiers de la saison régulière, affrontent en quarts de finale les Aigles de Nice, qualifiés en huitième position. Au cours de la saison régulière, Grenoble s’est imposé à quatre reprises : 3-2 (après prol.), 3-0, 8-1 et 3-1. La dernière visite des Niçois à Pôle Sud remonte au mois d’octobre et depuis les Aigles ont connu quelques ajustements avec le remplacement de Frantisek Stolc et Stanislas Sutor, coach historique de Nice, par un duo composé de Pascal Margerit et Marc-André Levesque, le défenseur et capitaine, blessé pour le reste de la saison.
Avec son absence, conjuguée à celle de Maxime Corvez et Harijs Brants, les Aigles se sont renforcés à la ligne bleue juste avant les play-offs avec les arrivées de deux défenseurs : le Finlandais Joona Tamminen et le Suédois Sebastian Miedema. Filip Dvorak est lui toujours blessé en attaque. Côté grenoblois, l’effectif est au complet et Per Hånberg a l’embarras du choix. Ce soir Charles Schmitt, Samuel Régis et Hugo Nogaretto (de retour de prêt de… Nice) sont laissés au repos alors que Matija Pintaric a été préféré à Jakub Štěpánek pour débuter. Côté niçois, c’est Conrad Mölder qui est titularisé devant la cage au détriment de l’ex-Grenoblois Raphaël Garnier.
Mölder se fait une petite frayeur dès la première minute avec un palet contré suite à un tir de Mallet qui s’élève et manque de peu de retomber dans son dos. Comme prévu, les Brûleurs de Loups sont en possession du palet alors que les Aigles attendent repliés dans leur zone offensive, à l’affût du moindre contre. Un tir croisé de Hilderman est repoussé de la jambière par Mölder. La pression se fait plus forte sur la cage niçoise avec un lancer de Grossetête, dévié au passage mais Mölder parvient à bloquer la rondelle alors que Hardy était présent au rebond. Beauchemin tente sa chance à son tour sur un one timer mais Mölder repousse également. Les Aigles se procurent une première opportunité en zone offensive avec Kalan et Kopta qui parviennent à tester Pintaric.
Petit à petit les Aigles arrivent à desserrer l’étau grenoblois. Kopta prend un tir en position, relâché de la mitaine par Pintaric. Puis c’est Kalan qui prend un lancer bloqué par le portier grenoblois. Les Brûleurs de Loups ont du mal à se positionner dans leur zone défensive et le moindre revirement est exploité par les Aigles. Nicolas Ruel expédie Boivin dans la cage niçoise sans qu’il ne soit en possession du palet. Première supériorité numérique pour Grenoble qui a rapidement une bonne première opportunité par Leclerc mais le palet est repoussé par Mölder. Beauchemin se fraie un passage jusqu’à la cage mais il est repris in extremis par Tiala. Boivin essaie de décaler Mallet qui n’arrive pas à redresser la trajectoire du palet. Nice se dégage malgré une dernière tentative de Treille. À sa sortie de prison, Ruel récupère le palet et prend un tir bloqué par Pintaric. Koudri voit son tir contré par Mölder mais c’est Nice qui crée la surprise avec un palet gagné par Ruel dans la bande. Le capitaine niçois centre pour Tiala, laissé libre de tout marquage qui marquage, qui trompe Pintaric en deux temps (0-1, 10’07).
Galvanisés par cette ouverture du score, les Brûleurs de Loups se retrouvent en difficulté et sur l’engagement Msumbu arrive à frapper à la porte de Pintaric face à une défense grenobloise trop spectatrice. Agressifs sur le porteur du palet, les Aigles arrivent à bien gêner la construction du jeu grenobloise. Kyle Hardy essaie de remettre la pression sur la cage niçoise avec un lancer lointain, mais Mölder n’est pas gêné pour lire la trajectoire des lancers. Les Brûleurs de Loups tentent de ramener le jeu dans la zone niçoise mais n’arrivent pas à se procurer d’occasion vraiment dangereuse. Mallet essaie de décaler Hardy qui arrive lancé mais le tir du défenseur grenoblois n’est pas cadré.
Les locaux n’arrivent pas à emballer le match face à une défense niçoise bien regroupée qui ne laisse pas beaucoup de place. Grossetête tente sa chance sur un tir en pivot dévié devant la cage de Mölder. En toute fin de tiers, Nice est tout près de doubler la mise sur un 2 contre 1 rapidement joué par Broutin et Sloboda dont le tir est repoussé par Pintaric qui évite le pire. Son équipe a clairement manqué d’inspiration pendant ce premier tiers-temps des play-offs face à une équipe niçoise très présente.
Les Brûleurs de Loups prennent les choses en main en début de deuxième période pour essayer de mettre du rythme dans une rencontre qui en manque cruellement. Deschamps prend un premier lancer dévié par Mölder. Grenoble arrive enfin à camper en zone offensive mais Mölder ne fait pas encore face à des tirs vraiment dangereux. Nice essaie de desserrer l’étau avec une bonne présence de Broutin puis de Msumbu qui portent le palet en zone offensive. La défense niçoise tient le choc et parvient à écarter le danger face à une attaque grenobloise pour le moment inefficace. Sur un bon décalage de Leclerc, Gueurif peut s’avancer vers la cage mais subit un cinglage de Karjalainen au passage. Les Brûleurs de Loups installent tout de suite le power-play avec le premier bloc qui fait bien circuler le palet. Après plusieurs tentatives, Binner prend un lancer plein axe, Mölder concède un rebond que s’empresse d’exploiter Mallet pour pousser le palet au fond (1-1, 27’07). Ce but fait du bien aux Isérois qui avaient du mal à trouver l’ouverture à cinq contre cinq.
Dans la foulée de ce but, Grenoble repart à l’offensive avec Dair qui frappe à la porte à deux reprises suite à un tir de Southorn mais il se heurte à Mölder qui ferme bien son angle. Sur un contre niçois, Pintaric rassure sa défense avec une belle mitaine. Leclerc passe en retrait pour Hardy dont le lancer qui est repoussé par la barre transversale. Nice commence à souffrir et suite à un bon travail de Grossetête et Farnier, Gueurif récupère le palet et prend un lancer qui heurte de nouveau la barre.
Au fil des minutes, les Grenoblois poursuivent leur domination. Deschamps glisse le palet à Treille qui se heurte à Mölder qui repousse de la jambière. Les contacts sont plus rugueux dans ce deuxième tiers-temps, mais les Brûleurs de Loups sont de nouveau tout près du deuxième but avec un palet dévié par Gueurif sur un tir du poignet d’Andersson. Boivin remet le palet dans l’axe pour Hardy qui s’avance et prend un tir qui vient s’écraser sur la transversale… C’est la troisième fois du tiers ! Signe que ça chauffe pour les Brûleurs de Loups, de plus en plus dominateurs à l’image d’une grosse présence en zone offensive de Deschamps, Bachelet et Leclerc notamment qui font tourner la rondelle comme en supériorité numérique. Les autres lignes prennent le relais et les Niçois ont de plus en plus de mal à sortir de leur zone.
Après avoir subi une mise en échec avec la crosse de Cirgues devant la cage niçoise, Treille sort les poings et s’en prend au défenseur niçois. Le capitaine grenoblois écope d’une pénalité majeure pour bagarre assortie d’une méconduite de match alors que Cirgues n’est sanctionné que de deux minutes. Nice va donc évoluer en supériorité numérique jusqu’à la fin du tiers et au début du suivant. Une aubaine pour les Aigles qui étaient copieusement dominés. Karjalainen tente sa chance de près mais n’arrive pas à déjouer Pintaric. Broutin combine avec Loizeau et Kopta pour essayer de trouver l’ouverture mais le boxplay grenoblois parvient à tuer la pénalité jusqu’à la pause. Pas vernis dans ce tiers, les Grenoblois qui ont touché trois fois les montants mais Nice a bien résisté pour garder le score à parité !
Les Brûleurs de Loups ont encore plus de deux minutes à tuer en infériorité numérique au début du troisième tiers-temps. Ils sont pourtant tout près de marquer sur un palet en profondeur de Crinon pour Koudri qui s’échappe tout seul mais Mölder remporte le face-à-face. Le jeu de puissance niçois a du mal à s’installer en ce début de troisième période. Adam Raska arrive enfin à prendre un lancer sur Pintaric mais sans grand danger. À cheval sur deux tiers-temps, la pénalité majeure est finalement tuée par les Brûleurs de Loups. De retour à cinq, ils repartent à l’offensive avec Boivin qui prend un tir dévié par Mölder. Un tir de Bachelet remet la pression sur la cage niçoise. Raska puis Tiala se montrent également pressants alors que les esprits s’échauffent entre Ruel et Crinon.
Koudri et Fleury réalisent une bonne présence pour maintenir le jeu en zone offensive. Après un bon travail de Farnier en zone offensive, Cirgues est contraint de retenir l’attaquant grenoblois. C’est une pénalité bienvenue pour Grenoble alors que le jeu est bloqué à cinq contre cinq. Le power-play est installé, un tir de Boivin n’est pas cadré, un tir lointain de Binner est capté entre les jambes par Mölder. Boivin prend sa chance sur un one timer, repoussé par Mölder. Et c’est finalement Beauchemin qui règle la mire suite à un décalage de Binner alors que Mölder est masqué par le trafic (2-1, 49’40).
Bien aidé par son power-play ce soir, Grenoble passe enfin devant à dix minutes de la fin. Et les Brûleurs de Loups n’en restent pas là. En maintenant le palet en zone offensive grâce à Deschamps puis Dair, ils continuent de mettre la pression sur Nice qui craque de nouveau sur une passe en retrait de Dair pour Bachelet qui tire sur réception et ajuste Mölder à bout portant (3-1, 50’17). Cette fois la différence est faite au tableau d’affichage. Les Aigles essaient de se lancer à l’attaque, un tir de Karjalainen en bonne position est dévié par Kyle Hardy. Mais même s’ils reprennent le contrôle du palet, les Niçois ont du mal à s’approcher de la cage grenobloise. Mais sur une relance en profondeur, Raska part dans le dos des défenseurs grenoblois et se présente seul face à Pintaric qui fait l’arrêt, évitant une fin de match compliquée à ses coéquipiers. De l’autre côté, une passe transversale de Farnier pour Gueurif se traduit par un lancer balayé sur réception mais Mölder est sur la trajectoire.
Les charges sont plus appuyées en fin de rencontre, Grenoble fait monter l’intensité d’un cran pour maintenir le jeu dans la zone offensive. Binner prend un tir au milieu du trafic, Mölder bloque le palet. Les coachs niçois n’ont plus d’autre choix que de demander un temps mort et de sortir leur gardien. Une option qui s’avère vaine car les Brûleurs de Loups écartent le danger avec un dernier arrêt propre de Pintaric sur un lancer de Karjalainen au milieu du trafic.
Les Brûleurs de Loups ont pris leur temps dans ce premier match de play-offs mais ils n’ont pas tremblé en faisant la différence avec deux buts marqués en 37 secondes en troisième période. Face à une défense hermétique et compacte à cinq contre cinq, les supériorités numériques ont été déterminantes et c’est d’ailleurs sur cette situation de jeu que Grenoble a marqué les deux premiers buts avec Mallet puis Beauchemin. En manque de réussite au deuxième tiers (trois poteaux), les Isérois ont pu compter sur un Pintaric solide pour les laisser dans le match. La pénalité majeure contre Treille aurait pu rabattre les cartes à un moment où la différence n’avait pas encore été faite. Mais cette fois c’est le boxplay grenoblois qui s’est bien illustré en tuant les cinq minutes de pénalité.
C’est d’ailleurs sur cette phase de jeu que Nice peut avoir de vrais regrets car il aurait pu permettre aux Aigles de reprendre les devants en début de troisième tiers. Nice s’est montré bien organisé et accrocheur avec une défense compacte et un excellent Mölder devant la cage pour s’opposer à la force de frappe grenobloise. Pas récompensés de leurs efforts, les Aigles ont toutefois signé une prometteuse entrée en matière en bousculant les Grenoblois et en les neutralisant pendant 50 minutes. Il leur faudra tenir plus longtemps demain pour espérer ramener un succès sur la Côté d’Azur alors que Grenoble va chercher à s’échapper dans cette série.
Désignés meilleurs joueurs du match : Matija Pintaric (Grenoble) et Adam Raska (Nice)
Commentaires d’après-match :
Damien Fleury (attaquant de Grenoble) : « Beaucoup d’émotion depuis hier soir, depuis que je l’ai annoncé au groupe. Ça a été beaucoup d’émotion, de souvenirs qui ont refait surface et voilà j’ai décidé que c’était la fin pour moi et je suis heureux de cette décision mais d’un côté je suis quand même triste parce que le hockey ça a été toute ma vie depuis l’âge de mes 3 ans et voilà maintenant il faut que je ferme ce livre, cette aventure qui a été magnifique. Pour moi c’est l’objectif d’arrêter en enlevant cette coupe Magnus, c’est sûr que je vais tout faire pour gagner et j’espère qu’on va tous jouer dans le même sens. On est tous dans le même bateau, on a tous envie de la même chose et moi en particulier. Ça serait magnifique, c’est clair que j’en rêve, maintenant j’espère que ça va se réaliser. J’avoue que j’ai beaucoup pleuré cet après-midi, je ne pensais pas à ressentir autant d’émotion et ça m’a énormément touché, je remercie toutes les personnes qui m’ont envoyé tous ces beaux messages. Je suis ému, mais en même temps je suis content car je suis fier de ce que j’ai fait et ce n’est pas fini. Ça fait quelques semaines voire quelques mois que j’avais pris ma décision. Je l’avais en moi, dans ma tête, dans mon cœur et c’était compliqué de le porter même si ma famille était au courant mais ça m’a libéré de le dire. Mes coéquipiers étaient émus je pense, quand je l’ai annoncé j’ai eu du mal à parler, il y avait pas mal de larmes mais j’en ai vu quelques-unes sur le visage de mes coéquipiers et ça m’a vraiment touché. Et j’espère qu’on va bien finir ça. J’ai une famille, j’ai aussi envie d’en profiter aussi et je pense qu’aujourd’hui j’ai fait le tour de ce que je pouvais faire niveau hockey et il était temps pour moi d’avoir de nouveaux défis et d’avancer dans la vie. Grenoble, c’est un club qui m’a apporté tellement et j’espère que je lui en ai rendu pas mal, je sais que je n’ai pas été irréprochable ces dernières années, je m’en veux à certains moments mais c’est fait, je ne peux pas revenir en arrière et c’est pour ça que j’ai à cœur de faire de bons play-offs et je remercie le club, Jacques, et tout le staff et tous les supporters d’avoir été toujours derrière moi. Je porte tout le monde dans mon cœur et j’espère encore leur offrir quelque chose de beau. Le boulot est fait ce soir, ça n’a pas été facile, ils sont arrivés très forts dans le match, je pense qu’ils nous ont surpris, on ne s’attendait pas à autant de vitesse de leur part mais on a montré du caractère, on n’a rien lâché, on a quand même été sereins. Et au final on fait quand même quelques erreurs mais on fait un bon match dans l’ensemble et c’est super de commencer par une victoire, ça nous met bien en confiance. »
François Beauchemin (attaquant de Grenoble) : « On savait qu’ils allaient sortir forts, c’est sûr, il y a l’excitation du début de play-offs, et puis se mettre dans le rythme. Pinta fait des gros arrêts et je pense que tout le monde a donné l’apport aujourd’hui. C’était un match de play-offs typique aujourd’hui. Il y a du défi physique mais en deuxième période je pense qu’on a trois ou quatre poteaux, la rondelle tourne des fois d’un bord comme de l’autre, aujourd’hui on a trouvé une façon de finir le job comme il faut. Quand on est en power-play, c’est sûr que d’aller chercher des gros buts comme ça, ça fait plaisir. C’est moi aujourd’hui, et ça va être quelqu’un d’autre demain. Quand il y a des poteaux, ça veut dire que t’as des occasions et quand t’as des occasions, ça veut dire que t’es dans la bonne zone, on savait que ça allait virer de bord si on continuait à travailler fort. La beauté des play-offs c’est que ça recommence à zéro et tout peut arriver encore. On ne veut pas laisser de surnombre pour rien donc on reste un peu en arrière pour ne pas donner des trois contre deux, et quand c’est le temps d’attaquer, nous on le sait et puis on part. C’est juste stratégique, il n’y a pas de peur là-dedans. C’est ça les play-offs, et toute l’année, on est expert en clutch en troisième période, c’est ce qu’on a fait encore ce soir. Toutes les unités ont fait leur job ce soir, c’est ce qui fait la différence dans les séries éliminatoires. »
Nicolas Ruel (capitaine de Nice) : « On voulait les surprendre, on voulait forechecker, jouer intense, essayer de mettre notre rythme dans le premier tiers. Ça a plutôt bien marché, on a suivi ce plan de match, on a continué tout le match, les pénalités nous ont un peu tués, après on a un power-play de cinq minutes où ils ont bien joué le PK et nous on n’a pas sorti notre épingle du jeu. Ça se joue sur ces cinq minutes parce qu’on va chercher un petit but, on avait déjà le momentum, ils jouaient pas mal défensifs, on avait le contrôle du palet quand même. Ils ont eu des temps forts aussi, il faut leur donner crédit mais je pense que si on met un petit but en power-play, on peut garder ce petit momentum qu’on avait mais on l’a un peu perdu… Pénalité, but, et après c’est la course au but. Mais voilà, c’est chose faite, ce qui s’est passé ce soir, c’est fini, maintenant on verra demain. Les play-offs c’est une nouvelle saison, c’est un style de jeu différent, on l’a travaillé cette semaine, on a fait beaucoup de vidéos sur Grenoble, on voulait les surprendre, je pense qu’on a réussi un peu notre petit pari, après eux ils vont sûrement s’adapter aussi donc nous on va devoir se réadapter. Chaque match est différent, chaque match sera abordé d’une autre manière, donc on va rester positif et il n’y a rien de fini. On va se focaliser sur demain, on va prendre match par match et essayer d’embêter leurs défenseurs, de forechecker, d’être intenses comme on l’a fait ce soir, parce qu’on voit que ça peut être payant donc on va rester sur cette dynamique. C’est un peu frustrant d’avoir perdu parce qu’on a proposé quelque chose de correct dans l’ensemble mais demain on va partir sur des nouvelles choses et on va rester positif. »
Grenoble – Nice 3-1 (0-1, 1-0, 2-0)
Vendredi 28 février 2025 à 20h15 à Pôle Sud. 4208 spectateurs.
Arbitres : Geoffrey Barcelo et Clément Goncalves assistés d’Éric Briolat et Vincent Zede
Pénalités : Grenoble 37’ (0’, 2’+5’+20’, 10’), Nice 18’ (2’, 4’, 2’+10’)
Tirs : Grenoble 34 (11, 14, 9), Nice 19 (9, 2, 8)
Engagements : Grenoble 22 (8, 5, 9), Nice 30 (6, 13, 11)
Évolution du score :
0-1 à 10’07 : Tiala assisté de Ruel et Lefebvre
1-1 à 27’07 : Mallet assisté de Binner et Boivin (sup. num.)
2-1 à 49’40 : Beauchemin assisté de Binner et Boivin (sup. num.)
3-1 à 50’17 : Bachelet assisté de Dair et Deschamps
Grenoble
Attaquants :
Christophe Boivin – François Beauchemin (10’) – Alexandre Mallet
Matias Bachelet [ou Fleury] – Nicolas Deschamps (A) – Aurélien Dair
Sacha Treille (C, 2’+5’+20’) [puis Fleury] – Adel Koudri – Guillaume Leclerc
Théo Gueurif – Valentin Grossetête – Loïc Farnier
Damien Fleury (A)
Défenseurs :
Kyle Hardy – Alexis Binner
Jacob Andersson – Jordon Southorn
Jarod Hilderman – Pierre Crinon
Gardien :
Matija Pintaric
Remplaçants : Cebald Debiak (G). Absents : Jakub Štěpánek, Charles Schmitt, Samuel Régis, Hugo Nogaretto (surnuméraires), Antoine Fertin (prêté à Cergy).
Nice
Attaquants :
Marek Sloboda – Joseph Broutin – Daniels Berzins
Ondrej Kopta (10’) – Luka Kalan – Teemu Loizeau
Nicolas Ruel (C, 2’) – Adam Raska – Taavi Tiala (A)
Alexis Sutor (A) – Hugo Proux – Julien Msumbu
Défense
Yoan Salvé – Louis Cirgues (4’)
Joona Tamminen – Leevi Karjalainen (2’)
Sebastian Miedema – Jules Lefebvre
Gardien :
Conrad Mölder [sorti de 59’24 à 60’00]
Remplaçants : Raphaël Garnier (G). Absents : Maxime Corvez, Filip Dvorak, Harijs Brants, Marc-André Levesque (tous blessés).